Dieter Graf présente de nombreuses espèces exotiques au Magnuspark. Certains animaux vivaient déjà avec lui à la maison et sont habitués aux humains.
Jusqu'à récemment, l'iguane de Dieter Graf était toujours assis avec lui sur le canapé et les chats se disputaient la meilleure place. Maintenant, le lézard se présente dans un grand terrarium pour les visiteurs curieux du zoo de Magnuspark.
Avec le nouveau zoo de reptiles, Graf a réalisé une idée qu'il poursuit depuis des années. Cependant, il n'était pas si facile de trouver un bien locatif avec des serpents venimeux et des lézards, explique l'homme de Füssen. Cela a finalement fonctionné sur l'ancienne plante de chanvre et les reptiles ainsi que les araignées, les insectes, les souris et les oiseaux ont trouvé une nouvelle maison.
Tout comme l'iguane, auquel Graf n'a jamais donné de nom, de nombreux autres reptiles vivaient également avec lui. Le gardien du zoo gère depuis des années un centre de sauvetage pour animaux exotiques, qui ont été confisqués, entre autres.
Pour que l'iguane ne soit pas si seul dans sa maison de verre fraîchement plantée, il aura bientôt une femelle, explique Graf. Mais tous les habitants du zoo ne peuvent être observés qu'à travers des vitres. Par exemple, sur un arbre au milieu de la pièce - bien camouflé - un caméléon est assis à l'affût d'une proie. A quelques mètres de là, un grand gecko diurne de Madagascar vit sur un long tuyau qui s'étend du plafond au sol. "Habituellement, il vit sur des palmiers et a besoin de la verticale", explique Graf. Le gecko est assis à l'envers devant un fond blanc, ce n'est que lorsqu'il est trop occupé ou pour dormir qu'il rampe dans un trou dans le plafond.
Les jours où il se passe peu de choses, Graf aime aussi laisser l'un de ses dragons d'eau errer librement dans le zoo. Elle est habituée aux gens aussi, dit-il. Et le week-end, un perroquet est assis dans la zone d'entrée et accueille les visiteurs.
En aucun cas, les serpents venimeux tels que les cobras cracheurs et leurs bébés nouvellement éclos ne sont autorisés à ramper librement. Graf n'a pas non plus de contact direct avec eux.
"Vous devez utiliser des crochets et des pinces pour les manipuler", explique l'expert. De plus, vos terrariums sont verrouillés et fabriqués en verre de sécurité spécial. Les pythons sont moins dangereux en face, même s'ils sifflent de façon inquiétante lorsque Graf pousse la vitre du terrarium de côté. Le plus gros pèse 70 kilogrammes et est surnommé la grosse Berta depuis qu'il fréquente un groupe de maternelle, explique Graf. Il n'a jamais donné de noms aux animaux, il y en a tout simplement trop pour cela. Dans certains terrariums, il faut chercher un peu avant de pouvoir découvrir leurs habitants. Ils sont bien camouflés dans l'installation réaliste et ne bougent pas beaucoup, dit Graf. C'est pourquoi il y a aussi de petits oiseaux dans certaines des vitrines pour l'action et des accroche-regard colorés.
Outre les lézards, les oiseaux, les serpents et les tortues, les visiteurs peuvent également apercevoir une tarentule, des insectes exotiques tels que le fantôme, des poissons d'ornement, des salamandres et de petits rongeurs. Pour chaque habitant du zoo, un panneau révèle des informations importantes telles que le pays d'origine, le nom, s'il est toxique ou non et si sa population est en danger.
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